Silvia Baron Supervielle découvre la poésie de Marguerite Yourcenar au début des années 1980 et, séduite, décide de la traduire en espagnol. Ce travail marque le début d’une relation suivie avec l’auteur de « Mémoires d’Hadrien ». Dans un entretien au « Monde », elle offre des aperçus précieux de la personnalité de l’écrivain, son quotidien sur l’île des Monts-Déserts et les arcanes de la création littéraire.
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