Que reste-t-il de l’écrivain ? Un « legs magnifique », selon le philosophe Bernard-Henri Lévy, qui loue les « réflexes sûrs » en politique d’Albert Camus, Prix Nobel de littérature. Selon lui, l’écrivain était bel et bien « le grand intellectuel de son temps » qui « au jour de sa mort n’avait à rougir d’aucun de ses engagements ». Sur la radicalité, le sens de la mesure et l’hypothèse d’une troisième voix entre nazisme et communisme, les textes et la pensée d’Albert Camus éclairent toujours utilement les débats contemporains.
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