“Les profanateurs, il est vrai, est parfois un ouvrage comique” ActuaLitté

On connaît le romancier, l’essayiste, et peut-être plus encore le fondateur d’Artpress. « Communiste dissident », pour reprendre ses termes, telquelien notoire, Jacques Henric tient, depuis 1971 au moins, un journal intime. Publié il y a quelques jours chez Plon, l’ouvrage a été « épuré ». À la différence d’un Henri-Frédéric Amiel (1821-1881), prolixe diariste, Henric n’a voulu garder que la substantifique moelle, soit, en l’occurrence, les anecdotes relatives à la vie littéraire, à l’activité sexuelle, et… aux chats ! Par Étienne Ruhaud.

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