Les Forces de Laura Vazquez, ou comment un livre bancal peut tenir debout ActuaLitté

Lire un roman écrit par un ou une poète : pourquoi c’est souvent ennuyant ? Pourquoi, souvent, on a l’impression de se battre contre le livre. Se débattre au milieu des mots. Qu’ils nous enserrent et nous empêchent de circuler librement de page en page. Qu’ils nous mettent mal à l’aise. Et pourquoi ici, avec Les Forces de Laura Vazquez, n’est-ce pas le cas ?

0 commentaires
0 likes
Post précédent: « Tocqueville », de Françoise Mélonio : la chronique « histoire » de Roger-Pol DroitPost suivant: Là où le temps et la glace sont les seuls maîtres : aux sources de l’épopée arctique ActuaLitté

Articles similaires

Donnez votre avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *