La mauvaise joueuse : Victor Jestin ou l’intimité à huis clos ActuaLitté

Victor Jestin poursuit son exploration des tensions humaines avec une précision clinique qui confine à l’obsession. Dans La mauvaise joueuse, il enferme ses personnages dans un huis clos feutré et moite, où le moindre regard devient un duel. Un roman court, nerveux, mais qui laisse des traces longues. Très longues.

0 commentaires
0 likes
Post précédent: Rentrée littéraire : la parité en progrès, mais encore fragile ActuaLittéPost suivant: Des obus, des fesses et des prothèses d’Arno Bertina : à la recherche de l’être perdu ActuaLitté

Articles similaires

Donnez votre avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *