“La fiction permet de rendre visibles ceux qu’on a oubliés” ActuaLitté

Il parle d’une voix douce, presque retenue, comme si chaque mot devait d’abord traverser la mémoire avant d’atteindre le présent. Alexandre Courban ne revendique pas un passé, il le reconstruit, patiemment, avec les outils de l’historien et la sensibilité du romancier. Chez lui, l’histoire n’est pas une matière figée : elle palpite encore sous la surface du récit.

0 commentaires
0 likes
Post précédent: Bénédicte Vergez-Chaignon et Nicolas Ragonneau, “Harcourt. Les années noires et grises. Un studio photo sous l’Occupation” (Denoël)Post suivant: Un chapitre “perdu” de Sur la route de Kerouac retrouvé chez la mafia new-yorkaise ActuaLitté

Articles similaires

Donnez votre avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *