IA générative et droit international : le CSPLA défend la primauté du droit européen

Dès lors que les modèles d’intelligence artificielle sont commercialisés dans l’Union européenne, « ce n’est pas parce que des serveurs seraient localisés ou des opérations d’entraînement auraient lieu hors d’Europe que le droit d’auteur européen n’a pas vocation à s’appliquer », estime le CSPLA dans son rapport de mission rendu jeudi 18 décembre.

0 commentaires
0 likes
Post précédent: Pascal Quignard, “Il n’y a pas de place pour la mort” (Éditions Hardies)Post suivant: Derf Backderf et Ann Rule, deux auteurs si proches de tueurs ActuaLitté

Articles similaires

Donnez votre avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *