États-Unis : quelle menace exerce la “cancel culture” sur les auteurs ? ActuaLitté

Aux États-Unis, les sensitivity readers — « démineurs éditoriaux » en français — continuent d’alimenter des débats. Sollicités par les maisons d’édition pour traquer stéréotypes et clichés, ces relecteurs sont parfois considérés comme des censeurs de la création littéraire, les représentants d’une « cancel culture » (« culture de l’effacement ») à l’œuvre. C’est du moins la thèse défendue par l’écrivain Adam Szetela dans son essai That Book Is Dangerous !.

0 commentaires
0 likes
Post précédent: « Imaginer Henry James en train de mâcher comme une vache ses intrigues peut m’aider à le digérer mieux encore »Post suivant: Bamboo déploie une collection audio des séries « Les Sisters » et « Les Profs »

Articles similaires

Donnez votre avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *