Des obus, des fesses et des prothèses d’Arno Bertina : à la recherche de l’être perdu ActuaLitté

Nous sommes au monde par nos corps et nos mots. Par les maux qui en découlent ou dont ils sont les symptômes, également. Exister, c’est être traversé par des sensations et des phrases, chercher une issue au nœud de chair et d’idées que nous sommes, indépendamment du pays qui nous voit naître. C’est d’autant plus vrai dans une ère mondialisée qu’obsèdent des rêves communs, multipliés par la magie publicitaire.

0 commentaires
0 likes
Post précédent: La mauvaise joueuse : Victor Jestin ou l’intimité à huis clos ActuaLittéPost suivant: La Nuit des clowns : attention aux nez rouges (sang) ActuaLitté

Articles similaires

Donnez votre avis

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *