Ahmet Altan, opposant au régime du président Erdogan : « Aucun romancier ne doit renoncer à la possibilité d’écrire un bon roman par crainte de la prison »

L’écrivain turc vient de voir son assignation à résidence levée, après quatre années ayant suivi cinq ans en prison. Très fécond, il publie un roman sur le génocide arménien, malgré le fait que le sujet soit tabou en Turquie, tandis qu’en France paraît « Boléro », un huis clos amoureux.

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